24/02/2018
Des découvertes archéologiques majeures en Égypte, sont en train de révolutionner toutes les datations jusqu’alors admises concernant les anciennes civilisations. Aux dires des égyptologues, la culture égyptienne aurait commencé il y a 5000 ans environ avant notre ère. Mais voilà que dernièrement, le Directeur général du département de la préhistoire égyptienne, vient de donner un grand coup de pied dans la fourmilière des certitudes. Ses découvertes lui permettent d’affirmer que la civilisation égyptienne aurait au moins 150.000 ans !
Une histoire aux sources de l’Hermétisme
Il n’est pas question ici de préhistoire, mais bien d’Histoire. L’information serait passée inaperçue si ce n’était grâce à la perspicacité d’Antoine Gigal auteure exploratrice en Égypte, qui a écouté l’interview télévisée du docteur Khaled Saad Directeur général du Département de la Préhistoire égyptienne, et qui a eu la bonne idée d’en faire une vidéo. L’ayant visionnée, mes amis de Tistrya m’en ont fait part aussitôt, tant la découverte vient bousculer toutes les idées reçues en matière de datation.
Voilà des décennies que je travaille -comme nombre de mes lecteurs le savent– sur l’archéologie dite « interdite » ainsi que sur les artéfacts inexpliqués. Mes recherches, mes travaux, n’ont toujours eu de cesse que de donner avec respect, les fondements de l’Enseignement hermétique sur l’Histoire des anciennes civilisations, mais aussi sur la trame qui constitue le cursus permettant d’élargir sur notre champ de conscience pour une plus grande évolution spirituelle.
C’est donc cet Enseignement hermétique qui nous permet, non seulement de comprendre la présence de l’Homme sur cette planète, mais aussi de mieux cerner l’Histoire des civilisations antédiluviennes et de présenter des faits remontant à des millions d’années avant notre ère, à un temps où de grandes civilisations plus formidables que la notre existaient.
Dans mes écrits je tends à démontrer cela tout en m’efforçant de dénoncer les théories extravagantes sous-tendues par des élucubrations extraterrestres. Mon livre « Le choix atlante » a tenté d’apporter les éléments d’ajustement qui contredisent les aspects académiques de l’Histoire officielle basés sur l’étude des textes sacrés de plusieurs civilisations.
Ainsi, la théorie des anciennes civilisations plus évoluées que la nôtre, que je défends depuis des décennies, trouve avec cette surprenante découverte, sa justification. La Terre a connu de nombreux cataclysmes plus ou moins importants et ainsi, au cours de millions d’années, il y eut des bouleversements géologiques. Des terres ont été inondées d’autres sont devenues désertiques. Des séismes ont détruits des villes entières et des mouvements géologiques des continents entiers.
Tout ces « passages » d’évolution terrestre sont appelés pralayas. Nos continents et nos diverses civilisations en ont connu et en connaîtront encore.
Découvertes archéologiques majeures en Égypte
Ce sont donc les découvertes de Khaled Saad Directeur général du Département de la Préhistoire égyptienne, qui viennent aujourd’hui jeter un pavé dans la marre. Ses recherches lui ont permis aujourd’hui de prendre la parole, au risque de recevoir l’anathème de ses collèges égyptologues. En effet il vient de démontrer que la civilisation égyptienne n’a pas 5000 ans environ, comme le prétendent les historiens officiels, mais bien 15 000 ans. Et de 15 000 à 500 000 ans pour des traces de civilisations.
Avec son collègue Mustapha Reis, ils révisent peu à peu toutes les datations proposées par les Occidentaux, et s’aperçoivent que ceux-ci ont une volonté farouche de ramener toujours la chronologie à des dates plus récentes. Dans le centre sud du Sinaï se trouvent neuf complexes d’habitation qu’on appelle Nawamis.
Le Dr Saad dit, que non loin de là, il a trouvé un site identique dont la datation avoisine les 15 000 ans. Ce serait donc la plus vieille cité du monde. Mais d’après l’éminent chercheur il y aurait également 306 autres sites qui remonteraient à 500 000 ans sur lesquels on a retrouvé des traces de civilisations.
Ils ont également découvert sur ces habitations, des traces de peintures identiques à celles qu’utilisèrent les pharaons des milliers d’années plus tard.
Plus extraordinaire encore, ils ont remarqué que ces peuples croyaient aux mêmes dieux que les égyptiens de l’époque dynastique. Ces dieux seraient donc issus d’une antiquité beaucoup plus ancienne que celle présentée dans nos manuels d’Histoire. Ces découvertes archéologiques majeures remettent donc toute la datation en question, et c’est ce que les Dr Saad et Reis s’appliquent à remettre en ordre. Certains scientifiques commencent à sortir des sentiers battus. Tant mieux, car ces découvertes confortent ce que dit l’Histoire antédiluvienne de la planète, précieusement conservée par les Gardiens invisibles de la grande Tradition.
A l’ombre de la Tradition hermétique
Les historiens ont donné des repères qui étaient issus du travail de leurs prédécesseurs et tout s’est bâti selon de faux paramètres et des données approximatives. On raisonnait juste sur des données fausses. Fort heureusement la science évolue et avec elle certains esprits plus ouverts, qui risquent néanmoins la potence du dénie scientifique de leurs confrères. Qu’ils soient ici salués pour leur audace et leur sens de la Vérité.
Le même combat se joue depuis des milliers d’années pour que soit reconnue la Science des Sciences, ce cursus universel qu’est l’Hermétisme transmis par les Maîtres de Sagesse et Leurs disciples. Depuis toujours beaucoup de vérités sont dites pour aider l’être humain dans sa progression spirituelle et son ouverture de conscience. De plus en plus les découvertes archéologiques et scientifiques en général, viennent étayer l’Histoire de notre passé antédiluvien.
Dans mon livre « Le choix atlante » paru en 2013, me référant à l’Enseignement hermétique je dis que :
Lorsque les Aryas s’étaient implantés dans le Nord de l’Inde et que leurs descendants, les Brahmanes, avaient apporté leur florissante culture aux peuples du Moyen Orient, l’Égypte s’était peu à peu peuplée, il y a 400 000 ans, à travers un peuple qui reste inconnu. Ce pays était alors très différent de la civilisation égyptienne que nous connaissons à travers l’Histoire antique.(…) A une époque plus tardive une importante immigration d’Aryos-Dravidiens, à peau foncée, de l’Inde pré-védique se déplaça vers l’Égypte et se mélangea à l’ancien peuple égyptien qui vivait là depuis de nombreux siècles.
C’est alors que suivirent ce que l’on appelle les Dynasties divines, qui résultèrent d’une migration atlante, de laquelle est issue l’antique civilisation égyptienne que nous connaissons. Beaucoup serait à dire à propos de cette fabuleuse histoire des âges anciens, que seule les Archives des Maîtres de Sagesse conservent. Dès lors, qui peut se vanter d’expliquer par des hypothèses personnelles, souvent hachées ou tronquées, glanées ça et là, une vérité historique. L’Histoire antédiluvienne du monde est inscrite dans les Écrits de la grande sagesse. Il est donc inutile d’essayer d’en tirer une gloriole personnelle. Il n’y a rien de nouveau sous le soleil comme le disait le mythique Salomon.
Visionner ici la vidéo d’Antoine Gigal.